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![]() Alors que le nombre de cas confirmés de coronavirus augmente et que la plupart des pays européens ont recours au confinement de la population pour assurer une distanciation sociale, la peur de l'inconnu provoque ce qu'on appelle des « achats de panique » qui ont pour conséquence de vider les magasins plus rapidement que ceux-ci ne peuvent être réapprovisionnés.« Quand vous voyez ces comportements extrêmes, c'est parce que les gens ont l'impression que leur survie est menacée. Ils agissent pour avoir l'illusion de contrôler la situation », explique Karestan Koenen, professeur d'épidémiologie psychiatrique à la Harvard TH Chan School of Public Health. Mais qu'est-ce qui nous fait paniquer exactement - et comment pouvons-nous garder notre sang-froid en période de stress élevé comme celle que nous sommes en train de vivre ? Cela dépend de la façon dont les différentes zones de notre cerveau se répondent. lire la suite de l'article du National Geographic publié le 18/03/2020 et écrit par Amy McKeever
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![]() "Le 6 mars, les résultats d’une enquête nationale portant sur le degré de détresse psychologique de la population chinoise suite à l’épidémie de Covid-19 a été publiée dans la revue spécialisée General Psychiatry. Huit jours plus tard, le prestigieux journal médical The Lancet publiait à son tour une revue de littérature sur l’impact psychologique de la quarantaine et les moyens de l’atténuer." Sommaire
lire la suite de l'article de Psychologies en ligne depuis le 20/03/2020 "Dans ce nouvel épisode d'Émotions, on s’est demandé ce qui faisait que l'on ressentait de l’anxiété ou de l’angoisse et comment on pouvait vivre avec. Car si ces émotions sont présentes à faible dose chez certains, elles peuvent être très handicapantes chez d’autres, qui redoutent tout le temps, de façon diffuse, quelque chose.
Pour comprendre, nous avons recueilli les témoignages du réalisateur Benjamin Parent, qui se dit anxieux, au point d’avoir plusieurs fois vomi sur le tournage de son premier film, et de Shérine, une jeune femme sujette à des crises de panique depuis l’enfance. Nous avons interrogé les psychiatres Dominique Servant et Antoine Pelissolo, qui nous ont aidé à comprendre les origines de l’anxiété, et nous avons parlé avec la psychanalyste américaine Jamieson Webster de la surconsommation de médicaments contre les troubles anxieux (les anxiolytiques) dans les pays développés. Enfin, pour en savoir plus sur la part existentielle de l’angoisse, nous avons discuté avec le philosophe Alain Cugno, auteur du livre De l’angoisse à la liberté : apologie de l’indifférence." Ecouter le podcast Emotions sur le site de Louie Média. "Jacqueline Gollan confirme: «Le fait de suivre une recette et d'assembler les choses étape par étape améliorera aussi les capacités de concentration de certains patients.» Pour elle, la cuisine peut être un terrain de travail thérapeutique –une opportunité pour le ou la patient·e de pratiquer un découpage séquentiel qui lui servira ensuite au quotidien. Un individu qui souffre de dépression peut se retrouver paralysé face à certaines tâches, comme trouver un travail ou le simple fait de se lever le matin, se préparer, puis sortir de chez soi. «Certaines personnes ont du mal à accomplir ces fonctions parce qu'elles sont fatiguées ou qu'elles se sentent dépassées», explique Jacqueline Gollan.
Découper ces activités en étapes plus petites, et donc moins effrayantes, peut aider. «C'est quelque chose que l'on fait en thérapie d'activation comportementale et en thérapie cognitivo-comportementale et qu'on peut pratiquer à travers une recette. Vous découpez l'action en étapes individuelles. Vous versez la farine, vous passez la farine au tamis, vous ajoutez ensuite les œufs, etc.» Ce découpage permet aux patient·es d'accomplir une tâche a priori intimidante. Un savoir-faire qu'il pourra ensuite appliquer à d'autres activités." lire la suite de l'article de Slate publié le 3 février 2020 et écrit par Marie Telling. "L’art peut être bénéfique pour la santé, tant physique que mentale. C’est l’une des principales conclusions d’un nouveau rapport du Bureau régional de l’OMS pour l’Europe, qui analyse les éléments de preuve tirés de plus de 900 publications du monde entier. Il s’agit, à ce jour, de l’étude la plus complète de bases factuelles sur les arts et la santé.
« Faire entrer l’art dans la vie de quelqu’un par le biais d’activités telles que la danse, le chant ou la fréquentation de musées et de concerts nous donne une clé supplémentaire pour améliorer notre santé physique et mentale », déclare le docteur Piroska Östlin, directrice régionale de l’OMS pour l’Europe par intérim. Ce rapport examine les bienfaits pour la santé (procurés par une participation active ou passive) dans 5 grandes catégories artistiques : les arts de la scène (musique, danse, chant, théâtre, cinéma), les arts visuels (artisanat, design, peinture, photographie) ; la littérature (écrire, lire, se rendre à des festivals littéraires) ; la culture (fréquenter des musées et des galeries, assister à des concerts, théâtre) ; et les arts en ligne (animation, arts numériques, etc.)" "Le simple fait de savoir que quelqu’un d’autre est déjà passé par là peut être d’une grande aide pour une personne victime d’une crise de panique pour la première fois.Dans le monde, 13,2% des adultes vivront une crise de panique à un moment ou un autre de leur vie. "
lire la suite du témoignage sur Huffpost (publié le 29/01/2020 par Danielle E. Owen) ![]() Les deux premières années de médecine ont un impact néfaste sur la santé mentale des étudiants et constituent une fenêtre d’opportunité pour une intervention préventive, selon une étude.
![]() Pour Antoine Pelissolo, professeur de psychiatrie à l’Université Paris Est Créteil, les troubles anxieux sont sous-daignostiqués. Université Paris Est Créteil, le journaliste aborde le sous-diagnostic des troubles anxieux. "Les troubles anxieux sont fréquents, c’est pourquoi il est important de les diagnostiquer, affirme Antoine Pelissolo. Il faut que tout le monde sache qu’ils existent, afin de ne pas stigmatiser les personnes qui en sont atteintes, en particulier dans le milieu professionnel. Ce genre de trouble est souvent vécu avec honte. Les gens n’en parlent pas, par peur de ne pas être compris. En effet, si on n’est pas soi-même concerné, la première tendance peut être de banaliser les choses, de penser qu’on a tous connu quelques peurs et qu’on les a surmontées, que ce n’est pas si grave". Lire l'interview sur le site de The Conversation ![]() "Un élève est distrait en classe ? Il a des difficultés à suivre ses cours ? Après consultation, la réponse du psychologue est sans appel : il est précoce ! Avec pour risque de passer à côté d’autres troubles comme l'autisme, la dyslexie ou des troubles de l’attention. Un élève est distrait en classe ? Il a des difficultés à suivre ses cours ? Après consultation, la réponse du psychologue est sans appel : il est précoce ! Ce diagnostic rassurant pour les parents permet d’expliquer pourquoi leur enfant n’est pas aussi performant que ses camarades. Avec pour risque de passer à côté d’autres troubles comme l'autisme, la dyslexie ou des troubles de l’attention. Franck Ramus, directeur de recherches au CNRS, professeur de psychologie à l’École normale supérieure, membre du Conseil scientifique de l'Education nationale, répond aux questions de Guillaume Erner. " Découvrir l'émission sur France Culture ![]() "Selon une étude britannique très sérieuse, révélée le 6 novembre, il faudrait écouter au moins une heure et 18 minutes de musique chaque jour pour éprouver du bien-être physique et mental. Un régime musical équilibré dans lequel plusieurs styles de musique sont représentés. Un impact extrêmement bénéfique sur notre bien-être". « Certaines propriétés de la musique affectent l’esprit et le corps. Consacrer chaque jour du temps à l’écoute de musique déclenche différentes émotions et peut avoir un impact extrêmement bénéfique sur notre bien-être." lire la suite sur Radio Classique |
Anaïs BECQUELIN Psychologue Paris 12
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